samedi 5 octobre 2013
jeudi 3 octobre 2013
un petit jeu chez " LES FENÊTRES OUVERTES
SUR LE BOIS
une matière que j'aime , que je vénère et respecte
une matière noble ,
une matière vivante , qui domine toutes les autres !
je vous montre ici , une de mes passions
LES MINIATURES
une de mes petites maisons en BOIS , car j'en ai d'autres ::::::
accroché à la fenêtre , vous remarquerez une cloche en bois Tibétaine
L'hiver j' installe des petites lumières à l'intérieur ,
Pour les fêtes de fin d'année également !
en général , je ne les peint jamais
j'aime voir les veines du bois , ses différentes nuances
le bois a un contact si doux sous les doigts
à bientôt
merci de tout vos si gentils commentaires
que j'apprécie de lire tous les matins , cela me donne un moment de bonheur
IRIS
vendredi 27 septembre 2013
couleur prune & pourpre
La pourpre était extraite de mollusques gastéropodes, les murex (dits aussi escargots de mer), beaux animaux à la coquille hérissée d'épines
Puissance et autorité
Le violet est la couleur de la tempérance. Mélange de bleu et de rouge, il associe action réfléchie et lucidité, équilibre entre le ciel et la terre, le sens et l’esprit, la passion et l’intelligence, l’amour et la sagesse.
Positif:
mystère, secret, mysticisme, richesse, délicatesse, tendresse, splendeur, profondeur, sagesse, prudence, amour, douceur, calme, lucidité, concentration, inspiration, transformation,
Négatif:
malaise, trouble, provocation, intériorisation, éloignement, froid, triste, funèbre, orgueilleux, pompeux, gravité profonde, mélancolie, ..
Une couleur que j'aime beaucoup
Que je retrouve dans le jardin & la maison
Un film que j'ai beaucoup aimé
JE VOUS SOUHAITE UN BON WEEKEND
MERCI à TOUS DE VOS GENTILS COMMENTAIRES
Cela me réchauffe le ♥♥♥♥
à bientôt
IRIS
lundi 23 septembre 2013
L'araignée tisse sa toile
Une vraie brodeuse en pleine action ( clic sur le carré à droite de la vidéo)
pour un plein écran )
POÉME A L'ARAIGNÉE
Jeanne Hyvrard
Une araignée entreprenante
Avait tendu un fil
Entre sureau et laurier
Soit sur plus de cinq mètres
Les arbres étant de tailles inégales
L'architecture penchait
Défiant les lois de la gravitation
Mais elle n'en avait cure
Et dans l'humidité d'Octobre
On voyait au soleil levant
De ce pont suspendu
Briller tous les haubans
J'aime l'araignée
J'aime l'araignée et j'aime l'ortie,
Parce qu'on les hait ;
Et que rien n'exauce et que tout châtie
Leur morne souhait ;
Parce qu'elles sont maudites, chétives,
Noirs êtres rampants ;
Parce qu'elles sont les tristes captives
De leur guet-apens ;
Parce qu'elles sont prises dans leur oeuvre ;
Ô sort ! fatals noeuds !
Parce que l'ortie est une couleuvre,
L'araignée un gueux;
Parce qu'elles ont l'ombre des abîmes,
Parce qu'on les fuit,
Parce qu'elles sont toutes deux victimes
De la sombre nuit...
Passants, faites grâce à la plante obscure,
Au pauvre animal.
Plaignez la laideur, plaignez la piqûre,
Oh ! plaignez le mal !
Il n'est rien qui n'ait sa mélancolie ;
Tout veut un baiser.
Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie
De les écraser,
Pour peu qu'on leur jette un oeil moins superbe,
Tout bas, loin du jour,
La vilaine bête et la mauvaise herbe
Murmurent : Amour !
Victor Hugo
LOUIS XV , se fit faire un habit de cour en fils de soie d'araignée
Plus récent une cape faite entièrement avec du fil de soie d'araignée
Je vous souhaite une très bonne semaine
avec un bon café sous les derniers rayons de soleil ♪♫
Merci de tous vos gentils commentaires
IRIS
samedi 21 septembre 2013
une photo pour un samedi
chez AMARTIA
y a- t- il une oreille assez fine pour entendre le soupir
des roses qui se fanent
Arthur Schnitzler
Rose " Catherine Deneuve "
BON WEEKEND
IRIS
mercredi 18 septembre 2013
Les soleils de Septembre
Sous ces rayons cléments des soleils de septembre
Le ciel est doux , mais pâle , et la terre jaunit.
Dans les forêts la feuille a la couleur de l'ambre ;
L'oiseau ne chante plus sur le bord de son nid.
Du toit des laboureurs ont fui les hirondelles ;
La faucille a passé sur l'épi d'or des blés ;
On entend plus dans l'air le frémissement d'ailes;
Le merle siffle seul au fond des bois troublés
La mousse est sans parfum , les herbes sans mollesse;
Le jonc sur les étangs se penche soucieux ;
Le soleil , qui pâlit , d'une tiède tristesse
Emplit au loin la plaine et les monts et les cieux .
Les jours s'abrègent ; l'eau qui court dans la vallée
N'a plus ces joyeux bruits qui réjouissaient l'air:
Il semble que la terre , et frileuse et voilée ,
Dans ses premiers frissons sente arriver l'hiver .
Auguste Lacaussade
Colchiques dans les près , fleurissent , fleurissent
Colchiques dans les près , c'est la fin de l' ÉTÉ
un petit thé ??????,,
N'oubliez pas d'installer votre vignette de blog
Cette fonction est en haut à gauche " hop blog "
Nous irons vous lire avec plaisir , ♫♪♫
IRIS
merci a tous de vos gentils commentaires
qui m'aide à nourrir ce blog
ô nature ,
L'hiver est un sommeil et n'est point un trépas:
Les printemps reviendront te faire belle et verte
L'homme vieillit et meurt , toi tu ne vieillis pas .
samedi 14 septembre 2013
une photo pour un samedi
AMARTIA
ce héron est très présent , juste au dessus de la mare
pas très facile de le déloger
il est d'une extrême impertinence
LE HÉRON
Un jour, sur ses longs pieds, allait je ne sais où,
Le Héron au long bec emmanché d'un long cou.
Il côtoyait une rivière.
L'onde était transparente ainsi qu'aux plus beaux jours ;
Ma commère la carpe y faisait mille tours
Avec le brochet son compère.
Le Héron en eût fait aisément son profit :
Tous approchaient du bord, l'oiseau n'avait qu'à prendre ;
Mais il crut mieux faire d'attendre
Qu'il eût un peu plus d'appétit.
Il vivait de régime, et mangeait à ses heures.
Après quelques moments l'appétit vint : l'oiseau
S'approchant du bord vit sur l'eau
Des Tanches qui sortaient du fond de ces demeures.
Le mets ne lui plut pas ; il s'attendait à mieux
Et montrait un goût dédaigneux
Comme le rat du bon Horace.
Moi des Tanches ? dit-il, moi Héron que je fasse
Une si pauvre chère ? Et pour qui me prend-on ?
La Tanche rebutée il trouva du goujon.
Du goujon ! c'est bien là le dîner d'un Héron !
J'ouvrirais pour si peu le bec ! aux Dieux ne plaise !
Il l'ouvrit pour bien moins : tout alla de façon
Qu'il ne vit plus aucun poisson.
La faim le prit, il fut tout heureux et tout aise
De rencontrer un limaçon.
Ne soyons pas si difficiles :
Les plus accommodants ce sont les plus habiles :
On hasarde de perdre en voulant trop gagner.
Gardez-vous de rien dédaigner ;
Surtout quand vous avez à peu près votre compte.
Bien des gens y sont pris ; ce n'est pas aux Hérons
Que je parle ; écoutez, humains, un autre conte ;
Vous verrez que chez vous j'ai puisé ces leçons
La Fontaine
Le Héron au long bec emmanché d'un long cou.
Il côtoyait une rivière.
L'onde était transparente ainsi qu'aux plus beaux jours ;
Ma commère la carpe y faisait mille tours
Avec le brochet son compère.
Le Héron en eût fait aisément son profit :
Tous approchaient du bord, l'oiseau n'avait qu'à prendre ;
Mais il crut mieux faire d'attendre
Qu'il eût un peu plus d'appétit.
Il vivait de régime, et mangeait à ses heures.
Après quelques moments l'appétit vint : l'oiseau
S'approchant du bord vit sur l'eau
Des Tanches qui sortaient du fond de ces demeures.
Le mets ne lui plut pas ; il s'attendait à mieux
Et montrait un goût dédaigneux
Comme le rat du bon Horace.
Moi des Tanches ? dit-il, moi Héron que je fasse
Une si pauvre chère ? Et pour qui me prend-on ?
La Tanche rebutée il trouva du goujon.
Du goujon ! c'est bien là le dîner d'un Héron !
J'ouvrirais pour si peu le bec ! aux Dieux ne plaise !
Il l'ouvrit pour bien moins : tout alla de façon
Qu'il ne vit plus aucun poisson.
La faim le prit, il fut tout heureux et tout aise
De rencontrer un limaçon.
Ne soyons pas si difficiles :
Les plus accommodants ce sont les plus habiles :
On hasarde de perdre en voulant trop gagner.
Gardez-vous de rien dédaigner ;
Surtout quand vous avez à peu près votre compte.
Bien des gens y sont pris ; ce n'est pas aux Hérons
Que je parle ; écoutez, humains, un autre conte ;
Vous verrez que chez vous j'ai puisé ces leçons
La Fontaine
à bientôt
IRIS
Suivre les autres participants chez AMARTIA
Inscription à :
Articles (Atom)