Sous ces rayons cléments des soleils de septembre
Le ciel est doux , mais pâle , et la terre jaunit.
Dans les forêts la feuille a la couleur de l'ambre ;
L'oiseau ne chante plus sur le bord de son nid.
Du toit des laboureurs ont fui les hirondelles ;
La faucille a passé sur l'épi d'or des blés ;
On entend plus dans l'air le frémissement d'ailes;
Le merle siffle seul au fond des bois troublés
La mousse est sans parfum , les herbes sans mollesse;
Le jonc sur les étangs se penche soucieux ;
Le soleil , qui pâlit , d'une tiède tristesse
Emplit au loin la plaine et les monts et les cieux .
Les jours s'abrègent ; l'eau qui court dans la vallée
N'a plus ces joyeux bruits qui réjouissaient l'air:
Il semble que la terre , et frileuse et voilée ,
Dans ses premiers frissons sente arriver l'hiver .
Auguste Lacaussade
Colchiques dans les près , fleurissent , fleurissent
Colchiques dans les près , c'est la fin de l' ÉTÉ
un petit thé ??????,,
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IRIS
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