mercredi 25 juillet 2018
dimanche 15 juillet 2018
la photo du mois ( juillet )
Thème : Le Vent, choisi par Pat
(http://pat2811.over-blog.com/)
Moustache et Trottinette
une girouette
les girouettes étaient placées à des fins protectrices ou conjuratoires, le vent puissant faisant naître dans l'imagination populaire des légendes entretenues par tradition orale.
La girouette a bien sûr un rôle fonctionnel : nous faire connaitre la variation des vents.
Elle est aussi une enseigne, avertissant le voyageur qui la découvrait de loin, de la profession de l'occupant de la maison.
Un cheval cabré indiquait un relais, un boeuf la maison d'un éleveur, un moulin celle d'un meunier...
Elle retrace l'activité des villages et de ses habitants.
celle-ci est sur le toit de la bergerie
Moustache et Trottinette
est une série de bande dessinée animalière du Français
Edmond- François Calvo
Publiée à partir de septembre 1952 dans l'hebdomadaire " Femmes d'aujourd'hui, " elle fait à partir de 1956 l'objet d'un fascicule trimestriel homonyme dont la publication cesse en décembre 1960 au 14e numéro avec la mort de Calvo1.
et comme ma mère prenait cette revue
j'ai eu le privilège d'en profiter
mon premier chat c'est appelé Moustache
et l'emblème de notre maison
Moustache c 'est mon mari
et moi bien sur c'est Trottinette
mardi 10 juillet 2018
A une fleur
Que me veux-tu, chère fleurette
Aimable et charmant souvenir ?
Demi-morte et demi-coquette,
Jusqu’à moi qui te fait venir ?
Sous ce cachet enveloppée,
Tu viens de faire un long chemin.
Qu’as-tu vu ? que t’a dit la main
Qui sur le buisson t’a coupée ?
N’es-tu qu’une herbe desséchée
Qui vient achever de mourir ?
Ou ton sein, prêt à refleurir,
Renferme-t-il une pensée ?
Ta fleur, hélas ! a la blancheur
De la désolante innocence ;
Mais de la craintive espérance
Ta feuille porte la couleur.
As-tu pour moi quelque message ?
Tu peux parler, je suis discret.
Ta verdure est-elle un secret ?
Ton parfum est-il un langage ?
S’il en est ainsi, parle bas,
Mystérieuse messagère ;
S’il n’en est rien, ne réponds pas ;
Dors sur mon coeur, fraîche et légère.
Je connais trop bien cette main,
Pleine de grâce et de caprice,
Qui d’un brin de fil souple et fin
A noué ton pâle calice.
Cette main-là, petite fleur,
Ni Phidias ni Praxitèle
N’en auraient pu trouver la soeur
Qu’en prenant Vénus pour modèle.
Elle est blanche, elle est douce et belle,
Franche, dit-on, et plus encor ;
A qui saurait s’emparer d’elle
Elle peut ouvrir un trésor.
Mais elle est sage, elle est sévère ;
Quelque mal pourrait m’arriver.
Fleurette, craignons sa colère.
Ne dis rien, laisse-moi rêver.
Alfred de Musset
petit Billy en pleine sieste
bonne semaine à tous
Edith
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